L’exercice était périlleux en effet en ces temps où l’indifférence à la politique européenne ou nationale le dispute à la démagogie, au populisme voir à une franche défiance ou une colère quasi pré-révolutionnaire. Il était assez salutaire et audacieux de tenter un réenchantement de la politique, qui plus est pas de n’importe quelle politique, l’européenne. […]